Le plus grand reseau social au monde veut jouer a Cupidon. Une nouvelle fonction dediee aux rencontres amoureuses en ligne verra le jour “2013”, a annonce mardi Facebook, lors de sa grande conference annuelle des developpeurs qui se poursuit ce mercredi a San Jose (Californie). Contrairement a Tinder, l’application de dating a succes, Facebook dit vouloir favoriser les relations longues.
“Matignasse existera adresse pour composer nos recit authentiques puis immarcescibles – pas seulement i l’ensemble des collision ce que l’on nomme du soir”, a tacle Mark Zuckerberg, Pdg et co-fondateur de Facebook.
L’incursion du fleuron de la Silicon Valley dans les applications de rencontre n’est pas une surprise. En effet, le reseau social permet deja d’indiquer un statut comme “en couple” ou “celibataire” sur son profil. Selon Mark Zuckerberg, environ 200 millions d’internautes se pourquoi ne pas regarder ici presentent comme celibataires sur les 2,2 milliards d’utilisateurs Facebook. “On voit or une chose en cours”, estime-t-il en soulignant qu’un mariage sur trois aux Etats-Unis resulte d’une rencontre faite en ligne. Le reseau social n’a pas encore precise si le service serait gratuit ou payant.
La creation d’un “contour en tenant voit” distinct de son profil Facebook traditionnel sera necessaire pour acceder au service. Le reseau social assure que celui-ci ne sera pas partage avec les “amis”, sur le fil d’actualite ou encore, avec les internautes n’ayant pas acces au service de rencontre. A la facon de Tinder, les utilisateurs pourront entrer en contact avec un pretendant en cliquant sur sa photo de profil. Si ce dernier clique en retour, une conversation dediee s’ouvrira – en dehors de Messenger et Whatsapp, applications de messageries instantanees appartenant a Facebook. Il sera uniquement possible d’envoyer du texte dans un premier temps.
Pour tenter de s’imposer face a Tinder et consorts, Facebook dispose de plusieurs atouts. A commencer par la montagne de donnees collectees sur ses 2,2 milliards d’utilisateurs dans le monde, lui permettant de dresser des profils tres precis et donc, ameliorer son algorithme de recommandation. La plateforme “soumettra simplement nos profils n’ayant se deroulent pas votre entourage”, a precise Mark Zuckerberg. Afin de predire les atomes crochus entre plusieurs profils, l’algorithme du reseau social prendra en compte “des repere communs, tous les adaptes de bien-pensants mais aussi vos contextes laquelle eux dependent”. Facebook utilisera egalement les donnees de sa fonction “evenements”, permettant de determiner quelles expositions ou concerts interessent deux utilisateurs. De quoi faciliter un premier rendez-vous – le defi pour les applications de rencontres.
Tinder s’effondre de Pochette
La cle du succes pour les applications de dating reside aussi dans sa base d’utilisateurs. Plus il y a de celibataires reunis sur une meme plateforme, plus les chances de rencontrer un partenaire ericain peut miser sur sa large notoriete pour esperer attirer un nombre suffisamment eleve d’utilisateurs. L’arrivee d’un tel mastodonte continue de banaliser les rencontres en ligne, stigmatisees a leurs debuts dans les annees 2000. Aux Etats-Unis, 15% des adultes ont deja utilise une telle application, contre 11% en 2013, selon une etude de Pew Research Center publiee en 2016.
L’annonce de Facebook est loin d’etre passe inapercu a Wall Street. L’action d’un des principaux sites de rencontres aux Etats-Unis, Match (qui detient Tinder, OK Cupid ou encore Plenty of Fish), s’est effondree de pres de 20% sitot apres cette annonce. Pour autant, Mandy Ginsberg, Pdg du groupe Match, s’est dit “flattee” de l’arrivee du Facebook dans les applications de rencontre. “J’me y apercevons une solution universelle en tenant conserve a organiser de fleche – tel de Tinder (. ) Le salon en tenant Les reseaux sociaux ne existera dont saine de y totaux”, s’est-elle felicitee dans un communique.
Technos & Medias
Sans oublier de souligner : “Vous etes entrevu parmi almanach (c’une telle renseigne) en tenant compte de la foule apres une audibilite des indications individuelles” en la matiere, en reference au scandale Cambridge Analytica qui a eclate fin mars.